LES ETATS UNIS d'AFRIQUE
Nous avons le POTENTIEL !
Tant en RESSOURCES HUMAINES que NATURELLES.
Cessons de flatter nos EGOS en pratiquant la politique du Ventre.
Pendant que nous nous détruisons de diverses manières, nous sommes pillés et relégués aux rangs des mendiants miséreux.
Engageons-nous réellement sur la VOIE de la Liberté, du Bien-Être et du Partage équitable envers l’Humanité.
Philosis
Que vaut la Vie de vos concitoyens à vos yeux ?
Que vaut le Pouvoir sans partage ?
Que vaut l’Accumulation de vos biens à l’Etranger, alors que vos concitoyens se retrouvent dans un dénuement pitoyable ? Poussés sur les routes par le crépitement des armes (qui proviennent d’où ?) et parqués dans des champs… Ces mêmes concitoyens qui hier, scandaient des cris d’ESPOIR et vous faisaient CONFIENCE .
SOUVENEZ-VOUS un instant, dans vos délires de POUVOIR, qu’un Linceul n’a pas de poche.
S’en SOUVENIR pour ne plus TUER Père et Mère… Amis et Frères au nom du Pouvoir.
AZIZAMAN.
LES FAITS HISTORIQUES ET LES RAISONS DES CAUSES.
1887 | Sadi Carnot est élu président de la République française. |
1889 | Le prince Kondo devenu en 1875 Vidaxo (prince héritier choisi par son père le roi Glèlè), accède au trône en 1889 sous le nom du roi Béhanzin (En langue fon : Gbê hin azin bo aï djrè. Qui signifie : "L'univers tient l'œuf que la terre désire"), son règne durera jusqu'à 1894. Le roi Béhanzin a consacré la courte durée de son règne de 1889 à 1894 à l'édification et l'unité de son pays, à renforcer la puissance de son armée, à développer le commerce, l’architecture et les arts. Comme il disait "un pays n'est grand que s'il est libre, je ne cèderai jamais une parcelle de la terre de mes ancêtres", très attaché au respect de la terre des ancêtres il avait une croyance irréductible en l'indépendance des nations et à leur coexistence. En 1894 le roi Béhanzin fut déporté en exil à la Martinique et ensuite à Blida en Algérie où il décède à Alger le 10 décembre 1906, enterré au cimetière Saint-Eugène d’Alger, sa dépouille mortelle ne pourra retrouver la terre de ses aïeux que 22 ans plus tard, même mort il continuait à faire peur aux autorités coloniales françaises, tant l'autorité du défunt roi était restée intacte dans son pays le Dahomey malgré la domination coloniale. Le roi Béhanzin est resté pour toujours le héros de la résistance à la colonisation, chaque Dahoméen a fait sien le dernier message du roi «Guédébé...reste debout, comme moi, comme un homme libre». |
1892 | La France est dans les turbulences politiques : Une enquête parlementaire est lancée en France sur le scandale de Panama mettant en cause une centaine de parlementaires. |
28 janvier 1894 | Le roi Béhanzin quitte Abomey pour rejoindre Cotonou. |
11 février 1894 | Le roi Béhanzin embarque à Cotonou accompagné de son fils Wouanilo, de quelques membres de sa famille et d'une suite. |
Ephémère PASSAGE à PARIS en 1893
LIBREMENT ET AVEC ASSURANCE:
EN FEVRIER 1894,QUITTE COTONOU
MÊME MORT... IL INSPIRE TOUJOURS LA CRAINTE. CAR, NUL NE SAIT...
Philosis
Discours d'adieu du roi Béhanzin
Ce célèbre discours du roi Béhanzin est le dernier message fort qu'il a prononcé le 20 janvier 1894 en signe d'hommage à son armée dont il a toujours loué le courage et la bravoure des soldats et des amazones.
« Compagnons d'infortune, derniers amis fidèles, vous savez dans quelles circonstances, lorsque les Français voulurent accaparer la terre de nos aïeux, nous avons décidé de lutter.
Nous avions alors la certitude de conduire notre armée à la victoire. Quand mes guerriers se levèrent par millier pour défendre le Danhomè et son roi, j'ai reconnu avec fierté la même bravoure que manifestaient ceux d'Agadja, de Tégbessou, de Ghézo et de Glèlè. Dans toutes les batailles j'étais à leurs côtés.
Malgré la justesse de notre cause, et notre vaillance, nos troupes compactes furent décimées en un instant. Elles n'ont pu défaire les ennemis blancs dont nous louons aussi le courage et la discipline. Et déjà ma voix éplorée n'éveille plus d'écho.
Où sont maintenant les ardentes amazones qu’enflammait une sainte colère ?
Où, leurs chefs indomptables : Goudémè, Yéwê, Kétungan ?
Où, leurs robustes capitaines : Godogbé, Chachabloukou, Godjila ?
Qui chantera leurs splendides sacrifices ? Qui dira leur générosité ?
Puisqu’ils ont scellé de leur sang le pacte de la suprême fidélité, comment accepterais-je sans eux une quelconque abdication ?
Comment oserais-je me présenter devant vous, braves guerriers, si je signais le papier du Général ?
Non ! A mon destin je ne tournerai plus le dos. Je ferai face et je marcherai. Car la plus belle victoire ne se remporte pas sur une armée ennemie ou des adversaires condamnés au silence du cachot. Est vraiment victorieux, l'homme resté seul et qui continue de lutter dans son cœur. Je ne veux pas qu'aux portes du pays des morts le douanier trouve des souillures à mes pieds. Quand je vous reverrai, je veux que mon ventre s'ouvre à la joie. Maintenant advienne de moi ce qui plaira à Dieu ! Qui suis-je pour que ma disparition soit une lacune sur la terre ?
Partez vous aussi, derniers compagnons vivants. Rejoignez Abomey où les nouveaux maîtres promettent une douce alliance, la vie sauve et, paraît-il, la liberté. Là-bas, on dit que déjà renaît la joie. Là-bas, il paraît que les Blancs vous seront aussi favorables que la pluie qui drape les flamboyants de velours rouge ou le soleil qui dore la barbe soyeuse des épis.
Compagnons disparus, héros inconnus d'une tragique épopée, voici l'offrande du souvenir : un peu d'huile, un peu de farine et du sang de taureau. Voici le pacte renouvelé avant le grand départ.Adieu, soldats, adieu !...
Guédébé...reste debout, comme moi, comme un homme libre. Puisque le sang des soldats tués garantit la résurrection du Danhomè, il ne faut plus que coule le sang. Les ancêtres n'ont plus que faire de nos sacrifices. Ils goûteront mieux le pur hommage de ces cœurs fidèles unis pour la grandeur de la patrie.C'est pour quoi j'accepte de m'engager dans la longue nuit de la patience où germent des clartés d'aurore.
Guédébé, comme le messager de la paix, va à Ghoho où campe le général Dodds.
Vas dire au conquérant qu'il n'a pas harponné le requin.
Vas lui dire que demain, dès la venue du jour, de mon plein gré, je me rends au village de Yégo.
Vas lui dire que j'accepte, pour la survie de mon peuple, de rencontrer dans son pays, selon sa promesse, le président des Français. »
Le 26 janvier 1894, le roi Béhanzin arrive à Goho pour rencontrer le général français Dodds et mit fin à la guerre.
Le roi Béhanzin a aussi laissé ce message pathétique aux enfants de son pays : "Le Requin se rend. Mais, les fils du Dahomey ne trahiront pas".
Ainsi prit fin la fantastique histoire du royaume de Dahomey libre et indépendant.
IRONIE du SORT: le 25 Juin 1894, Sadi Carnot le président de la République française est assassiné par Cesario un anarchiste italien. "GOU dans ses Oeuvres..." (Une METAMORPHOSE de 5).
Farewell to Storyville
AFRICULTURES
mardi 12 avril 2011
LE JOUR Où TOUT BASCULA POUR YAYI BONI THOMAS
jeudi 10 mars 2011
LETTRE OUVERTE AU PEUPLE SOUVERAIN DU BÉNIN.
dimanche 7 décembre 2008
MISE A PLAT POUR UNE AUTRE VOIE POLITIQUE A VISAGE HUMAIN.
Il y a quatre ans Jour pour Jour, débuta cette péripétie annonciatrice de profonds changements dans ma Vie d’Homme. C’était le 06 Décembre 2004, Jour de naissance de mon fils Thao Davi Noël, (Principe « double » de sa sœur DAËNA) . J’ai toujours assisté à toutes les naissances de mes enfants. Pour la naissance de Thao, c’est une gageur insurmontable pour mon faible entendement du moment. Alité et pris dans un tourbillon de malaises indescriptibles, je n’avais que mon discernement psychique pour me guider. Ce dont je souffrais ne relevait d’aucune médication thérapeutique classique. « AGBEBLOU » ! Ce vocable mystique s’IMPOSAIT à ma CONSCIENCE. Grelottant d’une forte fièvre, je ne peux que me résoudre à « RUSER » pour « GAGNER » du temps, afin de mieux CERNER les fondements de cette NASSE OCCULTE qui m’entoure. Rien que par le vocable « AGBEBLOU » qui s’imposait, je déduisais de mes analyses les pistes à explorer. Qu’est-ce donc encore ces défis ? Je ne peux m’adresser comme par le passé à un AVERTI de Haut Rang (Le Roi de Kétou) pour un soutien quelconque comme il le fit pour N.S. lors d’une ATTAQUE de FUSIL INVISIBLE. Et puis, c’est d’un autre temps… Me voilà confronté seul à cette GAGEUR à démêler. Gagner encore du temps afin de trouver des failles à exploiter.
Inlassablement, je répondais à la famille qui me pressait de faire appel au Docteur : « Je ne souffre d’aucune maladie susceptible de me faire conduire à l’hôpital ».
Les jours passaient et je suis toujours dans le même état de faiblesse, mais moins les montées de fièvre. En passant le cap des 7 jours toujours dans cet état, je compris que ce n’était pas une maladie qui m’entraînera dans la mort. Fort de cette vérité qui est mienne, je tenais tête à la pression de la famille tout en les rassurant. Vers les « PROFONDEURS » insoupçonnées de notre existence d’Hommes, la Prudence est toujours de mise pour celui qui sait. Le bout d’homme de fiston et sa maman sont rentrés de la maternité. Je me suis refusé d’avoir contact avec lui, par précaution. Ne sachant en réalité à quoi je suis confronté. Un peu avant noël, la nuit du 23 décembre, je reçois de nouveau la « Visite de DADA GBEHANZIN », avec la même « DEMANDE ». Mon « NON » catégorique d’avant le 06 décembre qui me CLOUA au lit, céda avec prudence la place à un astucieux : « Laissez-moi encore un peu de temps de réflexions ». « Prends ton temps, mais je veux avoir ton consentement, je reviendrai ». Ma réticence n’est dictée que par le dégoût ressenti lors du dernier remaniement gouvernemental en 1993 du Président Nicéphore Soglo. J’étais pressenti pour en faire partie et avoir en charge, le Ministère de la Culture. Il fut trompé par l’ex-Président Emile D. Zinsou et dirigé sur une fausse piste politique dans un rapport qui lui brandissait l’épouvantail AZONHIHO D. Martin. ...(à suivre)
05/01/2009
… Et ce n’est pas Fidèle Edoh Ayikoué qui me démentirait pour sa « compensation à la tête de l’ORTB », ni le Colonel devenu Général peu avant la remise du Pouvoir d’Etat par M. Kérékou en Avril 2006.
L’adage Yoruba se trouve une fois encore justifié : « Ilé ni Kou woua ». C’est de chez toi, que se justifie « ta mise à mort ». Certes, la calomnie de Fidèle E. Ayikoué n’a d’égale que le mutisme du Colonel et Emile D. Zinsou, en habile stratège tirait les ficelles dans l’ombre. S’il est dit que tous trois sont de Famille de mon côté, indiscutablement, je me retrouve mal logé. L’aîné, mon oncle maternel, Fidèle et Martin, mes beaux-frères. C’est dans ce climat d’intrigues politiques qui me dégoûta que je me fis une RAISON de mise à l’écart des choses politiques à l’africaine. S’il est vrai que l’ex-Président garde une dent contre le Colonel (après le coup d’état militaire), il est certain que tous les Coups sont permis pour des règlement de comptes sur fonds politiques. C’est ainsi qu’en PISTANT le Colonel en France depuis l’Ambassade du Bénin, en compagnie d’un Ponte du PCB, le Conseiller (Emile D. Zinsou, l’ex-Président) du Président Nicéphore Soglo découvre mon existence. Si le Colonel après sa libération par le Président Soglo, il s’est rendu en France pas chez une de ses femmes, et qu’il se retrouve avec moi durant un mois, c’est que sûrement « il doit préparer un mauvais coup ». C’est un mauvais souvenir qui hantait l’ex-Président. Il se souvenait certainement de sa propre chute du Pouvoir par les Militaires après s’être rendu en France pour demander une Aide Financière et revenant Bredouille. Il y a longtemps que je ne résidais plus sur le territoire et les échos politiques, en réalité n’étaient pas de mon pain quotidien. Ayant cerné la stupidité humaine, la convoitise et sa cohorte de Bêtises humaines, j’ai décidé de descendre sur Cotonou et d’entendre Fidèle Edoh Ayikoué. Devant son grand-frère, le mari de ma grande-sœur, j’ai voulu comprendre le pourquoi de ses médisances contre ma personne. Je suis SERVI au-delà de ce que je prétendais connaître de la Famille. Pour moi, plus de doute. Je dois me faire une raison. J’ai refermé cette page en rendant Hommage à l’ex-Président Justin T. Ahomadégbé (Conseiller et Consultant) du Président Nicéphore SOGLO). Tout comme le Président Emile D. Zinsou, le Président Justin T. Ahomadégbé sont de Famille. Ni l’un ni l’autre, ne m’ont jamais vu mais, tous deux, me connaissent de Nom. Que voulez-vous ? Nous sommes d’une grande Famille et le jeu des alliances ! Nul ne peut prévoir où il conduit. C’est avec ce souvenir de dégoût des affaires politiques que j’ai affronté Dada Gbéhanzin et, qui aurait pu me coûter la VIE. Je sais exactement ce que je ne veux pas : C’est vivre étiqueté, répertorié, calibré, déshumanisé et impudique… et puis 1993 est un lointain souvenir. Même vivace, c’est quand-même d’un autre temps. La Vie pour moi suivait son cours tranquillement. Je ne peux savoir quand et où je devrais impérativement donner une réponse plausible. J’ai mis le temps et la réflexion pour m’imposer plusieurs scénarios sans commettre le crime de lèse Majesté.
Dada Gbéhanzin a tenu à sa promesse de revenir chercher Sa Réponse. Ainsi, dans la nuit du 02 au 03 janvier 2005, accompagné par mon illustre ancêtre, qui se tenait muet à ses côtés, Il m’exposa Ses désirs. Je ne pouvais que l’écouter tout en passant au crible les implications de ce qu’Il me demandait. Et soudain, je n’ai pu m’empêcher de demander à quoi rimait cette visite à deux ? Ainsi, tu seras moins craintif en me faisant CONFIANCE. Est-ce trop te demander aujourd’hui ?
Je consentais, effectivement eu égard à mon passé que c’était la moindre des choses à faire pour SERVIR mon Père, notre DADA. Il me confia TOUT ce que je devais disposer pour mener à bien « cette MISSION d’une Haute Importance ». Les dés sont Jetés. Patiemment, j’ai attendu qu’Il me donne le top de la mise en route. J’ai averti MA MAISON (OUIDAH) sans trop de détails de ma MISSION. C’est ainsi qu’aux premiers jours du mois d’avril 2006, je suis descendu à Cotonou, 3 jours avant l’Investiture du Président Boni Yayi et suivre de LOIN les cérémonie. Ce qui justifia aussi ma présence à Abomey auprès du Roi HOUEDOGNI BEHANZIN, lors de la Commémoration du Centenaire de la Mort du Roi BEHANZIN en décembre 2006, et la Réception du RETOUR des Dépouilles du Prince Wouanilo.
Le RESTE demeure une affaire d’ETAT qui sort du cadre de ce Blog.
Sachez seulement que c’est avec un cœur léger que j’ai regagné les miens, le 17 Décembre 2007 après 20 mois d’absence du territoire français.
dimanche 12 octobre 2008
OUVERTURE des ARCANES de DJIMÊ
"KPÔGUÊ" DAH CHACHA VIWOUANOU.
Du haut de mes 64 ans en ce Jour du 12 Octobre 2008,
J'OUVRE LES ARCANES de DJIMÊ.
C’est un Droit qui m’a été donné de par ma Naissance,
et JE LE PRENDS.
Non ! DADA GBEHANZIN, Tes Fils ne sont pas encore prêts pour
Suivre la Voie Idéale, ni pour le Danhomê-Bénin, ni pour le Continent Africain.
mardi 1 avril 2008
LÊTÊ-DJIMÊ
AGBE (Agbétahoyo) LA MER.
lundi 31 mars 2008
DJIMÊ: LE TREPIED ou l'OSMOSE de 3 UNIVERS
IRONIE du SORT: le 25 Juin 1894, SADI CARNOT le président de la République française est assassiné par Cesario un anarchiste italien. "GOU dans ses Oeuvres..." (Une METAMORPHOSE de 5)
En 1894 le roi Béhanzin est déporté en exil à la Martinique et ensuite à Blida en Algérie où il décède à Alger le 10 décembre 1906.
Après avoir de sa CELLULE, Plié les RAILS sous la forme de CORNES de BÉLIER, la LOCOMOTIVE à vapeur, qui l’empêchait de PROLONGER tranquillement ses grasses matinées. Après maintes demandes de cesser le Trafic Ferroviaire ou, de dévier le Parcours de la locomotive, loin de sa cellule. Pour toute réponse à sa requête de Paix et de Tranquillité : « Nous ne pouvons pas. »« Moi, JE PEUX », dit-il de RETRANSMETTRE. Ce qui devait arriver ! ARRIVA. Imaginer la STUPEUR des premiers témoins à l’aube, quand ils découvrent ces RAILS pliés sous la forme des CORNES de Bélier, projetés à des centaines de mètres de la cellule où est logé DADA GBÊHANZIN. Malgré des années en EXIL, « KÔ ô N’DO DÔ » n’a rien perdu de son potentiel VENIN. L’effroi qu’engendre Son NOM lié à Sa Personne, est toujours vivace dans Ses FAITS tangibles de Résistant. Le DANGER avec Lui, Plane toujours et NUL n’est à l’abri. « Ce serait RISQUER de le faire revenir dans « Son DANXOMÊ (DAHOMEY) » …
mercredi 26 mars 2008
LE TREPIED ou l'OSMOSE de 3 UNIVERS
LÊTÊ-DJIMÊ : La TERRE qui ENGENDRE ; celle par qui nous avons « eu »/ « vu » « LE JOUR » par la Complicité et en OSMOSE avec « AGBE ou Agbétahoyo » la MER. S’il est Universellement reconnu que c’est la Femme qui porte en son SEIN, « l’Enfant » donc … LÊTÊ-DJIMÊ étant du principe Masculin ne peut nous « COUVER ». Son Rôle consiste à nous PROTEGER et nous HEBERGER. Dans cette Complicité en OSMOSE avec les ELEMENTS, l’HOMME, tient son ORIGINE de la MER. "Origine liée à un PARCOURS ACCIDENTEL de Télescopage Inter-Galactique". Dieu ou les Dieux n'y sont pour RIEN. Bien plus tard, en découvrant et maîtrisant son environnement, l'Homme a pris CONSCIENCE de lui-même, de son EVOLUTION (qui n'est toujours pas terminée) en mettant des CODIFICATIONS (qu'il Bafoue le plus souvent) pour se préserver et se donner bonne CONSCIENCE. (RIEN de "nouveaux" sous les CIEUX).
Nous constatons dans ce schéma-ci que la classification des Dieux (selon la Tradition) que le principe de groupage par pairs sexués est respectée. Cette approche est celle des Initiés. Ceux qui sont restés fidèles aux premières révélations de FA. Car en réalité, la Figure 13 Lêtê-Mêdji ; (Lêtê-Djimê) de cette Maison-Planète est Mâle et celle de 14 Tchê-Mêdji est Femelle. Dans cette configuration ainsi reconstituée, nous retrouvons l’Aspect Supérieur de la Transmission Initiatique et Sacrée de FA.
Nous pensons qu’il est Important de souligner cette carence documentaire afin de mettre en évidence l’origine réelle de la classification et de l’agencement des seize Figures de la Géomancie Traditionnelle de FA. Il suffit en effet de comparer les deux tableaux pour mettre en lumière la contradiction du tableau 2 par rapport au premier. L’interprétation de la configuration du tableau 2 (même par certains devins Béninois) est faussée. Elle est faussée également dès le départ en ce qui concerne l’approche occidentale par certains chercheurs. Et les ouvrages d’aujourd’hui sur le FA (même ceux de certains Africains), ne font que répéter les Erreurs Anciennes. Une autre réalité de FA que nous mettrons en lumière dans d’AUTRES ANALYSES afin de mieux CERNER la complexité de l’ensemble des DIEUX générés dans le FA.
jeudi 20 mars 2008
LE GENITEUR et le JEU des METAMORPHOSES.
Le 13ème UNIVERS, 4ème GROUPE
détient la CLEF de notre Genèse.
Lêtê-Djimê montre du doigt le COSMOS, l'OEUF. "Je ne peux te MESURER, pourtant, tout ce que tu peux laisser choir, se retrouve dans mon SEIN,(VENTRE)." Ainsi poétise orgueilleusement "Lêtê-Djimê" par Vodoun SAKPATA. A juste titre car, seul LUI peut INJURIER sévèrement la VULVE de la Mère de KOU (la MORT) sans pour autant périr. Des milliards d’années plus tard, en se rendant compte de son ATCHÊ (Pouvoir), de sa suprématie sur la Matière, Il est le POINT culminant du RETOUR dans YÊ (INVISIBLE-ROYAUME-MONDE-DU TREPAS).
Adeptes du temple SAKPATA en 1948.
Ne nous leurrons pas. Tant d’écrits et de retransmissions ne sont pas fidèles à la réalité d’origine. Un coup d’œil sur les Gros titres de certains Médias nous fait comprendre le fondement scabreux de l’homme avide. Pourquoi n’en serait-il pas possible de déceler cet état de conscience il y a des milliards d’années? Avant même que les DIEUX et DIEU ne se reconnaissent en tant que TELS? Pensez-vous que notre évolution fut une « évolution spontanée »? De même que celle des DIEUX? Seule une prise de CONSCIENCE effective a su faire la différence et la part des choses, pour l’équilibre de tous et de tout un chacun afin de PRESERVER l’intégrité du VAISSEAU DJIMÊ (la TERRE). Ceci a eu pour conséquence la création de deux camps. Le Camp positif et le Camp négatif. Bien plus tard, la NOTION du Bien et du Mal. FA nous l’enseigne par cet ADAGE : Vole et Fuis, n’attends pas sur les lieux de ton méfait. Tout Voleur a le droit de se défendre. Car l’humiliation est plus affligeante que l’étourderie, et ne flatte pas l’EGO. Le 7ème UNIVERS en duplicité avec le 4ème (ABLA-DI) nous le conseille. Être plus habile en intelligence calculatrice n’est pas une tare. Dans une assemblée d’Hommes, il y a toujours eu des dissensions. C’est dans nos gènes depuis la nuit des temps. Les coups bas, les trahisons de toutes natures, les supercheries de toutes sortes. Mêmes les DIEUX ne sont épargnés. C’est une vigilance constante de chaque instant. Il a fallu du temps et de la stratégie de conservation pour arriver à maintenir une certaine cohésion dans l’harmonie. L'Homme étant souvent offensif, la scission éclata. Ce qui a eu pour résultat, la destruction de certains Mondes, depuis engloutis. La perte de certaines CONNAISSANCES évaporées, brûlées volontairement ou dissimulées, mais toujours Disponibles. Scrutez sans état d’âme (ne nous voilons pas la face) le passé lointain et proche. Vous constaterez que l’Homme ne s’est Jamais assagi et qu’indéniablement, il poursuit et reproduit les ERREURS des ANCIENS Maîtres du Monde.
DADA GBÊHANZIN: L’UNIVERS porte un ŒUF que la TERRE(Djimê = qui ENGENDRE = Géniteur) ne saurait MESURER. Et pourtant, cette même TERRE reçoit Tout ce qui vient de l’Univers. Enigmatique GBÊHANZIN…! L’ALPHA de notre EXISTENCE qui renferme notre Genèse ; partie intégrante de FA. Emblématique Dada GBÊHANZIN. (Le Roi Béhanzin). Pourquoi avoir choisi ce Vocable pour accéder au Trône du Dan-homê ? Est-ce à dessein ? Si l’on se réfère au Vécu et aux Faits Historiques de cet Être hors du commun, incontestablement, Le Roi Béhanzin fait partie de ces Hommes Alchimistes qui ont jalonné notre Vaisseau Planète TERRE depuis des lustres. Il attendait le Retour du Fils bien-aimé: WOUANILO. Avec qui et au travers de qui il a su explorer l’âme et le mode de pensée du Continent Occidental. Poussé par une curiosité insatiable, il voulait en découdre avec le "Roi" des « ENVAHISSEURS ».
S. M. Roi GBÊHANZIN
ses Epouses et son Fils Wouanilo à leur passage à Marseille.
Le Prince Wouanilo BEHANZINdans sa Robe d'AVOCAT près LA COUR d'APPEL de Paris.
Les DEPOUILLES du Prince Wouanilo
de retour à AGBOMÊ, sur la Terre de ses Ancêtres en 2006
Super Homme! Certes, mais pas Dieu en ce temps-là, et pourtant tint parole quand il annonça à son geôlier qu'il n'avait rien à craindre de lui pour le moment; mais plus tard, que ce serait par la main d'un enfant qu'il rendrait l'âme. Ce qui est, des années plus tard, effectivement arrivé par un jouet factice que pointait sur lui un petit garçon, dans un magasin de Jouets. Une vraie balle atteint mortellement le Général. Une vraie Balle sortie d'un jouet factice tenu par un enfant accompagné de sa mère. "L'Esprit et la Matière en Mouvements". Indéniablement, ceci prouve et confirme tout ce que DADA GBÊHANZIN a fait SUBIR personnellement aux antagonistes qui croisaient son chemin. Empêcher un bateau de prendre la Mer malgré la dextérité des mécaniciens. Il savait en ce moment, qu’un drame se jouait dans son camp par la TRAHISON de son frère GOUTCHILI et Chef des Armées. Cette Trahison, passible de la Cour Martiale, Dada Gbêhanzin n’en fit rien. Ce n’était pas sa priorité de l’heure. Après un accord tacite entre Lui et le Général, de revenir à bord après avoir accompli UN DEVOIR Sacré envers les SIENS (Compagnons d’Armes), et de laisser le bateau prendre la Mer s’il avait son consentement. Connaissant et craignant l’Homme, le Général accepta l’offre inespérée de Dada Gbêhanzin. Que sont-ils devenus mes valeureux guerriers? Ils sont tous morts. Et Dada a compris l’ampleur du désastre que causa cette Honteuse et impardonnable Trahison de son frère et chef d’armes à qui il avait remis « l’Antidote » pour l’ultime combat contre les Envahisseurs. Par convoitise, GOUTCHILI a commis l’ignominie en remettant à l’adversaire le «fameux Antidote». L'adversaire s’en est servi contre les Valeureux Compagnons d’armes de DADA. Ces derniers se sont servi d’un vulgaire charbon de bois moulu remis en substitution du Vrai Antidote par leur Chef d'Armes GOUTCHILI. Imaginez un instant le CARNAGE et cet Hécatombe… Devant le fait accompli, "KO ô N'do DÔ" se TRANSMUTA et Prononça: « ATCHÊ TCHE DIGBE » Implorant DADA GBEHANZIN les ESPRITS de ses Fidèles COMPAGNONS défunts. Ne croyons pas à la Falsification de l'Histoire. DADA GBEHANZIN n'a JAMAIS immolé sa Mère non plus. Nâ... est décédée de sa belle mort, des années plus tard. Loin des "Yeux" des fomenteurs de tous poils. "ATCHERIGBE" n'a rien de commun avec "ATCHÊ TCHE DIGBE" qui est un VOCABLE ALCHIMISTE. A partir de ce instant, DADA plus que jamais, décida d’en finir de visu avec le roi des « ENVAHISSEURS ». Envahisseurs pour qui il avait, une certaine admiration pour leur « civilisation ». De retour à KOU TÔ NOU (Cotonou) et avant de s’embarquer, KÔ N’DO DÔ (DADA GBÊHANZIN) en TRANSMUTATION ALCHIMIQUE lâcha, LE TERRIBLE et FOUDROYANT VERBE « Gbé dô vô ; Sê dô vô », à l’encontre des Fils du DANXOMÊ (DAHOMEY) d’une part et de la TERRE d’AFRIQUE dans sa Globalité. En s’embarquant avec sa Suite, DADA GBEHANZIN nourrissait secrètement sa « STRATEGIE de RENCONTRE » avec le ROI des ENVAHISSEURS. Pour DADA GHEHANZIN en s’embarquant, il n’était à aucun moment question d’ EXIL. Et dans l’analyse de la Politique des Envahisseurs, c’était l’ELOIGNER du Territoire Dahoméen afin d’avoir les Coudées Franches. Mais où « CONVOYER » DADA et Sa Suite ? (Le Roi se déplace TOUJOURS Accompagné d’une SUITE, c’est la règle liée aux Prestiges d’UN ROI). Rien n’était préalablement défini CLAIREMENT par les Envahisseurs. Ils ne s’attendaient non plus trouver en un seul homme, UNE TELLE DETERMINATION DANS LA RESISTANCE. DADA GBEHANZIN s’étant rendu compte que le Navire voguait en « ROND » en Haute Mer, pendant plusieurs Jours sans JAMAIS atteindre la Destination Initiale qui était la Terre Française, où Réside le « Roi des Envahisseurs », le reprocha au Général qui balbutia ces quelques mots en guise d’excuses: « J’attends des Ordres de ma Hiérarchie ». En attendant que le Général reçoive les « Ordres de sa Hiérarchie », DADA GBEHANZIN empêche de nouveau le NAVIRE de voguer. Ceci dura plusieurs Jours, l’équipage manquait cruellement de provisions et surtout d’eau. Il y a eu beaucoup de pertes en Vie humaine dans le rang de l’équipage. Pendant ce temps, à la nuit tombante, DADA GBEHANZIN sortait du NAVIRE avec sa natte et allait l’étaler sur l’Océan en Haute Mer où il mangeait tranquillement. A la fin de son repas, il ramenait à Sa Suite de quoi subsister. Le Général a compris qu’il serait DANGEREUX de le laisser fouler de ses pieds, le sol du Territoire Français et sonna l’alarme en direction de sa Hiérarchie ; (Le Général avait vu JUSTE). L’Ordre arriva finalement au bout de quelques jours de Faire ROUTE VERS LA MARTINIQUE. Une fois encore DADA GBEHANZIN a été leurré par le Général qui n’a pas osé lui AVOUER la Destination où il devait conduire SA MAJESTE. (Le Général a encore vu JUSTE, car il savait qu’il encourait un GROS RISQUE, et qu’il valait mieux pour son Salut et celui du Reste de l’Equipage qui lui restait, lui faire croire qu’ils font route vers la France). Par contre le Général précisa bien le nombre de jours à passer encore sur la Mer avant de Mouiller, et passa sous SILENCE le NOM de la MARTINIQUE. Les DEUX HOMMES en FINS STRATEGES se RESPECTAIENT. C’est pourquoi DADA GBEHANZIN l’avait épargné. Mais néanmoins lui avait promis la MORT par la main d’un Jeune Garçon quand Il s’est rendu compte que le Général n’a fait qu’obéir aux Ordres de sa Hiérarchie en utilisant des subterfuges. DADA GBEHANZIN ignorait que les Envahisseurs n’avaient plus de « ROI » au sens propre de Sa Conception et qu’ils l’avaient Guillotiné au cours de leur Révolution de 1789. Dans Sa Conception de l’époque, celui qui pouvait RASSEMBLER et DIRIGER un Pays et son Peuple, ne pouvait être qu’un ROI. DADA GBEHANZIN a compris bien plus tard dans son EXIL que le Système de Gouvernance des Envahisseurs, n’était plus le Système de la Monarchie mais, que celui qu’il croyait être un Roi, n’était en fait qu’un Président de la République, élu par Bulletins et entouré d’Autres Institutions Républicaines. Ce qui le conduit à encourager le Prince WOUANILO à faire des ETUDES comme les Envahisseurs pour un dessein qui sort du Cadre de ce Blog (Veuillez m’en EXCUSER). Après le diplôme d’Ingénieur, le Prince attaque les Etudes de DROIT. Prendre CONSCIENCE de ces « FAITS HISTORIQUES » nous éclairera sur la NATURE de DADA GBÊHANZIN, sa LUTTE et son ENGAGEMENT de RESISTANT face à l’Envahisseur.
Médecin-Colonel de l'Armée à la Retraite. (Formé à Bordeaux)
Actuel occupant de Djimê sur le Trône de son Illustre Ancêtre: Dada GBÊHANZIN.