Vers une grave crise internationale

C'est la Banque mondiale et le Fonds monétaire international qui ont sonné l'alarme, en appelant les gouvernements à intervenir d'urgence pour éviter l'éclatement d'une crise alimentaire mondiale. Lundi, en Afrique du Sud, la grande centrale syndicale sud-africaine Cosatu a lancé une campagne de protestation contre la hausse des prix alimentaires. Le prix du maïs a augmenté de 120 % dans le pays depuis 2006 et celui du riz de 75 % depuis deux mois. POUR LIRE CET ARTICLE
MES EXHORTATIONS
Dans l'une de mes pages BLOG depuis le 03/11/2005, j'attirais l'ATTENTION des Gouvernants et des Politiciens décisionnaires par ce texte: GIGOT AUX CARNASSIERS... les LOUPS.
MESSIEURS, nous avons moins de deux ans pour une prise de CONSCIENCE avant que TOUT ne nous EXPLOSE à la FIGURE.

«GIGOT aux CARNASSIERS…les LOUPS»

Conscient du « boulet » que je veux leur jeter et, Espérant qu’ils prendront le temps de réflexion pendant la digestion. Après la déconfiture "économique et sociale" du bloc des « Balkans », le reste du monde industriel se croyait épargné! La désillusion a déjà commencé. Autant le chat ne saurait faire le commerce du poisson frit… De même que toutes productions demandent preneurs pour être viables. Tout contenant ne peut prendre au-delà de sa propre capacité. C’est « le cas de » la goutte d’eau, qui fait déborder le vase. Jusqu’où « le niveau de vie » peut-il monter ? Quel serait le seuil prospère à atteindre ? Et quel serait le seuil fatidique à ne pas dépasser ? Dans cet engrenage du « chien essayant de se mordre la queue », Katchê (Bouc émissaire, Souffre-douleur), en remet une couche et interpelle… (Théorie des PNB, PIB et Bazars confondus…) Quel serait le seuil fatidique des revendications salariales à ne pas dépasser ? Jusqu’où la masse salariale peut-elle estimer sa paye correcte ? Et quelle serait la limite décente du profit pour un Patron ? Quel serait le seuil fatidique du prix d’une baguette de pain ? D’un litre de lait ? D’un litre d’eau ? D’un kilo de pommes de terre ? D’un kilo de carotte ? D’une botte de salade ? D’un kilo de tomate ? D’un kilo d’oignon ? D’un litre d’huile de tournesol, d’olive, d’arachide ou de palme ? Et quel en serait celui du beurre ou de la margarine ? Celui d’un kilo de poissons ou de viande bovine (pas celle dopée à la farine animale) ? Et depuis quand la vache (herbivore) se nourrit-elle de viande ? C’est dans ce monde incongru que nous oscillons. Et à tous les niveaux du secteur économique et social, cette gangrène n’épargne personne. Mais alors, dans cette orchestration machiavélique, quelle est la partition réservée que joue le Tiers ou le Quart Monde ? A quand la salutation simple et fraternelle entre les Peuples ?
(Toutes couleurs confondues)
Philosis

SOUS CE SCEAU

SOUS CE SCEAU
L'AFRIQUE S'EVEILLE

LES ETATS UNIS d'AFRIQUE

A quand: "UNE PRISE DE CONSCIENCE POUR LES ETATS-UNIS d'AFRIQUE?"

Nous avons le POTENTIEL !

Tant en RESSOURCES HUMAINES que NATURELLES.

Cessons de flatter nos EGOS en pratiquant la politique du Ventre.

Pendant que nous nous détruisons de diverses manières, nous sommes pillés et relégués aux rangs des mendiants miséreux.

Engageons-nous réellement sur la VOIE de la Liberté, du Bien-Être et du Partage équitable envers l’Humanité.

Philosis

Que vaut la Vie de vos concitoyens à vos yeux ?

Que vaut le Pouvoir sans partage ?

Que vaut l’Accumulation de vos biens à l’Etranger, alors que vos concitoyens se retrouvent dans un dénuement pitoyable ? Poussés sur les routes par le crépitement des armes (qui proviennent d’où ?) et parqués dans des champs… Ces mêmes concitoyens qui hier, scandaient des cris d’ESPOIR et vous faisaient CONFIENCE .

SOUVENEZ-VOUS un instant, dans vos délires de POUVOIR, qu’un Linceul n’a pas de poche.

S’en SOUVENIR pour ne plus TUER Père et Mère… Amis et Frères au nom du Pouvoir.

AZIZAMAN.



SAVOIR & CONNAISSANCES


LA RECADE de DADA GBÊHANZIN

LES FAITS HISTORIQUES ET LES RAISONS DES CAUSES.

1887

Sadi Carnot est élu président de la République française.

1889

Le prince Kondo devenu en 1875 Vidaxo (prince héritier choisi par son père le roi Glèlè), accède au trône en 1889 sous le nom du roi Béhanzin (En langue fon : Gbê hin azin bo aï djrè. Qui signifie : "L'univers tient l'œuf que la terre désire"), son règne durera jusqu'à 1894.

Son symbole emblématique : un requin, un œuf. Sa devise : « Le monde tient l'œuf que la terre désire ». Grand résistant, défenseur de l'intégrité et de l'indépendance du royaume de Dahomey il a un message fort «Le requin en colère vient troubler la barre. Je suis le requin, je n'abandonnerai pas une parcelle de mon royaume», ce message sera l'étendard de son combat pour préserver l’intégrité et la liberté de son pays.

Le roi Béhanzin a consacré la courte durée de son règne de 1889 à 1894 à l'édification et l'unité de son pays, à renforcer la puissance de son armée, à développer le commerce, l’architecture et les arts. Comme il disait "un pays n'est grand que s'il est libre, je ne cèderai jamais une parcelle de la terre de mes ancêtres", très attaché au respect de la terre des ancêtres il avait une croyance irréductible en l'indépendance des nations et à leur coexistence.

La ville de Cotonou a continué à être le principal point de conflit entre la France et le royaume de Dahomey, la situation se dégrade et les choses se compliquent lorsque la France construit à Cotonou en 1891 une grande jetée portuaire (wharf) dans la mer pour faciliter ses débarquements, dès lors le roi Béhanzin considère que la terre de ses ancêtres était en danger et refuse d'accorder à la France le doit d'occupation de la ville de Cotonou sans limite de durée, en réponse la marine française attaque le Dahomey en bombardant les côtes de Cotonou, une grande partie des habitants est massacrée.

Fidèle à son idéal de négocier d’abord avant de se battre, le roi Béhanzin avait utilisé tous les moyens possibles pour éviter la guerre et pour que le conflit qui opposait la France à son pays soit réglé par une négociation franche qui sauvegarde la dignité des deux pays, il avait même envoyé dès 1893 à Paris en France une mission officielle de négociation dont faisaient partie : Chedingen (gouverneur de la ville d'Abomey, chef de mission), Tossah (messager confidentiel du roi), Dosoo (secrétaire interprète du roi), Ayinunkunken (gouverneur de la ville de Godomey), mais Sadi Carnot Président en France à cette époque n’a pas daigné les recevoir, ce fait a même été illustré dans « Le Petit Journal » en date du 2 décembre 1893, le journaliste qui avait porté cette mission à la connaissance des français écrivait : «Ces Dahoméens étaient venus à Paris certains d’être reçus par M. Carnot… Peut-être rêvaient-ils, toutes proportions gardées, un accueil dans le genre de celui que l’on fit aux envoyés de Russie. Et voilà que personne n’a voulu faire attention à eux,…Ils sont repartis emportant le bâton-récade du roi Béhanzin. Nous n’avons pas voulu les laisser s’en aller comme cela; c’est pourquoi nous offrons leurs très ressemblants portraits à nos lecteurs. Que notre attention les console. C’est à peu près tout ce qui restera de leur éphémère passage à Paris ».

Le roi Béhanzin recherchant toujours à renouer le dialogue avec la France avait envoyé plusieurs lettres aux autorités françaises où il disait notamment : "Moi je reste dans mon pays, est-ce que j'ai été quelques fois en France faire la guerre contre vous ? ", "Je désirerais savoir combien de villages français indépendants ont été brisés par moi roi de Dahomey ?".
Après l’échec de toutes ses tentatives de conciliation dont la mission envoyée en France en 1893, le roi Béhanzin n’ayant pas réussi par la négociation à éviter la guerre s'est déterminé à mener une résistance farouche contre la colonisation de son pays, son armée était bien organisée et s’est battu avec courage et bravoure, le roi était de tous les combats toujours présent sur le terrain aux côté de ses troupes, c’était un fin stratège difficile à vaincre, lorsque les combats étaient devenus trop meurtriers pour son armée il a mis en place une stratégie de résistance à partir du maquis et a tenu plusieurs mois sans être pris malgré les moyens très importants mis en œuvre par l’adversaire pour se saisir de lui.
Le roi Béhanzin était toujours invaincu au bout de deux années de combats acharnés, et ce n’est que par la ruse et la tromperie que le Général Dodds réussit à le faire sortir du maquis en lui promettant que s’il interrompait les combats il l’amènerait en France rencontrer le Président des français le seul habilité dit-il au roi à négocier au nom de la France pour mettre fin à la guerre. Le roi Béhanzin a embarqué à Cotonou en février 1894 pour un voyage qu’il croyait à destination de la France pour aller négocier la paix avec le Président des français, lorsqu’il s’est rendu compte qu’il avait été trompé et trahi, et qu'il était tombé dans un piège dont il ne pouvait plus sortir, c'était déjà trop tard, il était déjà sur la route de l'exil.

En 1894 le roi Béhanzin fut déporté en exil à la Martinique et ensuite à Blida en Algérie où il décède à Alger le 10 décembre 1906, enterré au cimetière Saint-Eugène d’Alger, sa dépouille mortelle ne pourra retrouver la terre de ses aïeux que 22 ans plus tard, même mort il continuait à faire peur aux autorités coloniales françaises, tant l'autorité du défunt roi était restée intacte dans son pays le Dahomey malgré la domination coloniale. Le roi Béhanzin est resté pour toujours le héros de la résistance à la colonisation, chaque Dahoméen a fait sien le dernier message du roi «Guédébé...reste debout, comme moi, comme un homme libre».

1892

La France est dans les turbulences politiques : Une enquête parlementaire est lancée en France sur le scandale de Panama mettant en cause une centaine de parlementaires.

28 janvier 1894

Le roi Béhanzin quitte Abomey pour rejoindre Cotonou.

11 février 1894

Le roi Béhanzin embarque à Cotonou accompagné de son fils Wouanilo, de quelques membres de sa famille et d'une suite.


Ephémère PASSAGE à PARIS en 1893

Ephémère PASSAGE à PARIS en 1893
MISSION OFFICIELLE DE NEGOCIATION EN FRANCE.

LIBREMENT ET AVEC ASSURANCE:

LIBREMENT ET AVEC ASSURANCE:
DADA se PRESENTE à DODDS en quittant ABOMEY le 28 Janvier 1894

EN FEVRIER 1894,QUITTE COTONOU

EN FEVRIER 1894,QUITTE COTONOU
DADA GBÊHANZIN débarque à la MARTINIQUE le 30 mars 1894. En exil à Fort-de-France (Martinique), il résidera avec sa famille et sa suite au Fort Tartenson.

MÊME MORT... IL INSPIRE TOUJOURS LA CRAINTE. CAR, NUL NE SAIT...

MÊME MORT... IL INSPIRE TOUJOURS LA CRAINTE. CAR, NUL NE SAIT...
Cérémonies de l'enterrement du roi Béhanzin à Alger le 11 décembre 1906.
Il y a au-delà de ton propre SAVOIR, d'autres SAGESSES ouvrant la PORTE à d' AUTRES CONNAISSANCES.

Philosis

Discours d'adieu du roi Béhanzin

Ce célèbre discours du roi Béhanzin est le dernier message fort qu'il a prononcé le 20 janvier 1894 en signe d'hommage à son armée dont il a toujours loué le courage et la bravoure des soldats et des amazones.

« Compagnons d'infortune, derniers amis fidèles, vous savez dans quelles circonstances, lorsque les Français voulurent accaparer la terre de nos aïeux, nous avons décidé de lutter.

Nous avions alors la certitude de conduire notre armée à la victoire. Quand mes guerriers se levèrent par millier pour défendre le Danhomè et son roi, j'ai reconnu avec fierté la même bravoure que manifestaient ceux d'Agadja, de Tégbessou, de Ghézo et de Glèlè. Dans toutes les batailles j'étais à leurs côtés.

Malgré la justesse de notre cause, et notre vaillance, nos troupes compactes furent décimées en un instant. Elles n'ont pu défaire les ennemis blancs dont nous louons aussi le courage et la discipline. Et déjà ma voix éplorée n'éveille plus d'écho.

Où sont maintenant les ardentes amazones qu’enflammait une sainte colère ?

Où, leurs chefs indomptables : Goudémè, Yéwê, Kétungan ?

Où, leurs robustes capitaines : Godogbé, Chachabloukou, Godjila ?

Qui chantera leurs splendides sacrifices ? Qui dira leur générosité ?

Puisqu’ils ont scellé de leur sang le pacte de la suprême fidélité, comment accepterais-je sans eux une quelconque abdication ?

Comment oserais-je me présenter devant vous, braves guerriers, si je signais le papier du Général ?

Non ! A mon destin je ne tournerai plus le dos. Je ferai face et je marcherai. Car la plus belle victoire ne se remporte pas sur une armée ennemie ou des adversaires condamnés au silence du cachot. Est vraiment victorieux, l'homme resté seul et qui continue de lutter dans son cœur. Je ne veux pas qu'aux portes du pays des morts le douanier trouve des souillures à mes pieds. Quand je vous reverrai, je veux que mon ventre s'ouvre à la joie. Maintenant advienne de moi ce qui plaira à Dieu ! Qui suis-je pour que ma disparition soit une lacune sur la terre ?

Partez vous aussi, derniers compagnons vivants. Rejoignez Abomey où les nouveaux maîtres promettent une douce alliance, la vie sauve et, paraît-il, la liberté. Là-bas, on dit que déjà renaît la joie. Là-bas, il paraît que les Blancs vous seront aussi favorables que la pluie qui drape les flamboyants de velours rouge ou le soleil qui dore la barbe soyeuse des épis.

Compagnons disparus, héros inconnus d'une tragique épopée, voici l'offrande du souvenir : un peu d'huile, un peu de farine et du sang de taureau. Voici le pacte renouvelé avant le grand départ.

Adieu, soldats, adieu !...

Guédébé...reste debout, comme moi, comme un homme libre. Puisque le sang des soldats tués garantit la résurrection du Danhomè, il ne faut plus que coule le sang. Les ancêtres n'ont plus que faire de nos sacrifices. Ils goûteront mieux le pur hommage de ces cœurs fidèles unis pour la grandeur de la patrie.
C'est pour quoi j'accepte de m'engager dans la longue nuit de la patience où germent des clartés d'aurore.

Guédébé, comme le messager de la paix, va à Ghoho où campe le général Dodds.

Vas dire au conquérant qu'il n'a pas harponné le requin.

Vas lui dire que demain, dès la venue du jour, de mon plein gré, je me rends au village de Yégo.

Vas lui dire que j'accepte, pour la survie de mon peuple, de rencontrer dans son pays, selon sa promesse, le président des Français. »




Le 26 janvier 1894, le roi Béhanzin arrive à Goho pour rencontrer le général français Dodds et mit fin à la guerre.

Le roi Béhanzin a aussi laissé ce message pathétique aux enfants de son pays : "Le Requin se rend. Mais, les fils du Dahomey ne trahiront pas".

Ainsi prit fin la fantastique histoire du royaume de Dahomey libre et indépendant.




IRONIE du SORT: le 25 Juin 1894, Sadi Carnot le président de la République française est assassiné par Cesario un anarchiste italien. "GOU dans ses Oeuvres..." (Une METAMORPHOSE de 5).

Farewell to Storyville


AFRICULTURES

Le site et la revue de référence des cultures africaines

jeudi 10 mars 2011

LETTRE OUVERTE AU PEUPLE SOUVERAIN DU BÉNIN.


A Toutes les Têtes Couronnées du Bénin.

A tous les DIGNITAIRES du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest du Bénin.

A tous les Candidats aux Elections Présidentielles de 2011 au Bénin.
A Mr. Le Président de la République du Bénin,


Son Excellence Thomas Yayi Boni.

IL NE FAUT PLUS SE VOILER LA FACE pour dire, prétendre sauver la Paix.

Toutes les analyses, en fonction de mes données, recoupées à celles de diverses sources tant du Bénin que de l’extérieur, me conduisent à la même conclusion d’IMPASSE sans RETOUR. Le brave peuple Béninois, dans son élan profond de changement, n’a pas su discerner, la Vile IMPOSTURE qui l’engloutirait.

Je plaide non-coupable pour le PEUPLE. Car, la réputation du model démocratique du Bénin se confond, dans une opérette mal réglée, discordante de nosINSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES.

Certes, pour nous faciliter la résolution des problèmes liés à notre CONSTITUTION, il faudrait à tout un chacun de nous, une part d’abnégation de notre perso en offrant le meilleur de nous-mêmes, ENSEMBLE, en TOUT AMOUR.

C’est pour cela que je voudrais adresser ici, toute ma reconnaissance filiale au Président Emile Derlin Zinsou et, au Président Nicéphore D.-D. Soglo, pour leurs médiations. Néanmoins, hélas ! Ce ne serait qu’une courte accalmie, qui n’inaugure guère une Paix réelle aspirée par le Peuple Béninois.

MERCI à cette LEPI qui a permis de révéler au grand jour, les Failles et Faiblesses, que certains connaissaient de notre CONSTITUTION depuis fort longtemps.

De nos Traditions, il est bien connu, que quand deux frères se chamaillent au-delà d’un seuil, il faut l’intervention d’un troisième frère pour ramener, l’équilibre et la cohésion en la demeure. Cette pratique nous enseigne le sens de la Raison gardée, de l’Equité et de l’Humilité.

Lorsqu’un problème est identifié, il faudrait, en toute Conscience l’aborder sagement et sans précipitation.

Car, chaque Caïman, connaît son Marigot.

Notre CONSTITUTION Démocratique était rédigée par des HOMMES.

Nous disposons encore aujourd’hui, d’HOMMES en Compétences Diverses pour RELEVER ce Défi Constitutionnel.

A chaque Terre, sa Poussière.

Nous n’avons plus à courir, après un délai lié à une constitution qui est déjà malmenée et mise à mal, par le truchement de nombreux Amendements.

Même, certains spécialistes ou se désignant comme tels, y ont perdu leur latin, il y a belle lurette.

Loin de moi l’idée ou l’intention de pousser à la désobéissance civique, il voudrait mieux ne pas maintenir l’appel aux Urnes, pour le 13 Mars 2011.

Cela n’aurait pour conséquences, d’empirer les désordres qui se profilent à l’horizon.

Ce que l’on ne pourrait mettre 6 Mois pour CORRIGER, ne peut l’être en 5 Jours.

La VOIX de la SAGESSE nous RECOMMANDE, de nous POSER sereinement, afin d’accorder nos violons pour une meilleur Harmonie, au Nom du Peuple Béninois.

Le droit de vote de tout citoyen en âge de voter et, ne faisant l’objet d’aucune contrainte pénale restrictive, est un droit Civique que nul ne saurait CONTESTER.

Pas même l’EXCLUSION d’une minorité de Citoyens, si cela relevait d’une ELABORATION de la LEPI.

Cessons de nous Voiler la face et, de Tourner en Rond dans les Dédales Constitutionnelles.

Peu importe l’aveu d’échec de la LEPI pour le moment. Ce ne serait qu’une partie remise, pour mieux l’élaborer.

Le regroupement de TOUS LES CANDIDATS à l’Election Présidentielle, pour une CONCERTATION préalable de sortie de Crise, est SOUHAITABLE.

Prouvez au regard du Monde, que vous êtes DIGNES FILS du Bénin.

En prouvant aussi à votre Peuple, par le même truchement que vous l’AIMEZ.

En retour, vous obtiendrez sa profonde gratitude et moi, TOUT mon AMOUR.

Je décline mon affiliation :

Christian Antoine Féliciano Juliao F. de SOUZA.

Pour des esprits suspicieux, je répondrai : Oui, mais je ne suis pas Ecclésiastique.

Bien que CROYANT, je suis né Chrétien et je mourrai Chrétien.

Et cette conviction ne m’empêche nullement d’explorer d’autres CULTURES.

Car l’IGNORANCE, est le premier Fléau de l’Homme.

Je suis Ethnologue, Sociologue de Formation et Chercheur.

Mes pages de Blog :

http://chacha-premier.blogspot.com/

http://sites.google.com/site/africa...

http://zachrist.blogspot.com/

Pour en découvrir d’autres, suivez les LIENS de chaque page de Blog.

Cordialement, Philosis

QUÊTE ???

QUÊTE ???
EXTRAGALACTIQUE...

COMBIEN déjà???